samedi 28 mars 2015

Le lapbook, un support pédagogique vivant


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  • Qu'est ce qu'un lapbook?

Un lapbook est un dossier thématique personnalisé dans lequel l’enfant regroupe des informations aménagée de manière créative – autrement dit, une sorte de portefeuille interactif – qui est très souvent utilisé dans le milieu du homeschooling. Le terme « lapbook » a été inventé par Tammy Duby, une mère écrivain pratiquant le homeschooling aux Etats-Unis et signifie qu’il « couvre les genoux » (de l’enfant). Elle a d’ailleurs publié un ouvrage, The Ultimate Lap Book Handbook (2006, Meggie Dee Press).

  • Caractéristiques des lapbooks

Il s’agit d’une manière ludique et joyeuse de garder trace des apprentissages. C’est un outil souple, que l’enfant peut totalement s’approprier pour en faire ce qu’il souhaite. Il peut donc y mettre au choix : fiches, photos, cartes, livrets, images, et créer autant de mini-livres (qu’il y a de notions secondaires) en accordéons ou à rabats, à volets, en multicouches, avec des pochettes ou enveloppes, languettes, roues, posts-it, etc.

Pour gagner du temps, des « patrons » ou supports de base sont disponibles sur Internet : chez Carpe diem par exemple.

Cette activité demande plusieurs étapes – et compétences : questionnement, recherche de documents, planification,  découpage, collage, rédaction d’écrits, dessin, coloriage, etc.  La couleur permet un meilleur repérage visuel et donc une meilleure organisation.

Bien évidemment, le lapbook peut s’adapter à tous les âges. Les petits auront sans doute besoin d’aide et d’un support pré-conçu ; comme ils ne sont pas encore lecteurs, de plus d’informations visuelles : peu d’écrits, essentiellement des images – à l’instar des imagiers.  
Tandis que pour les plus grands, progressivement, on peut introduire des notions plus complexes.

  • Les multiples avantages des lapbooks

Avec les lapbook, on peut traiter une infinité de thèmes, selon les envies. Chaque sujet, activité, expérience, apprentissage, est une occasion!
De plus, comme l’enfant s’y investit de manière autonome, et souvent avec grand plaisir, il s’agit d’une création originale. Il peut en tirer une grande satisfaction.
Cette pratique permet aussi de réaliser des synthèses intéressantes et efficaces d’apprentissages récents.
Il permet également de conjuguer travail manuel et travail intellectuel ; les idées traitées sont donc mieux assimilées.
Enfin, il permet de traiter un sujet de manière complexe, c’est à dire en reliant plusieurs domaines ou sciences : l’art, les sciences naturelles, etc.
Dernier argument : c’est un support pédagogique peu coûteux !

  • Des ressources :


Carpe Diem, un site très riche en supports ludo-pédagogiques
- Charivari à l’école, deux articles : lapbook et lapbook suite 
- Le petit coin de partage de Romy: quelques modèles 
- Sur Pinterest, de nombreuses ressources
- Amour d'enfants et IEF, des lapbooks à télécharger

Quelques lapbooks en exemple, piochés déci delà, pour vous inspirer :


Sur le blog Clothes line confessions, une maman raconte l’élaboration d’un lapbook sur le thème des myrtilles, à partir de la lecture d’un livre qui a attisé la curiosité de ses enfants. C’est en anglais, mais les photographies sont tout à fait parlantes. Le premier jour, à partir d’un support téléchargé, ils abordèrent le cycle de vie de la myrtille ; le second jour, les ours qui en consomment ; ensuite, les différents mets que l’on peut cuisiner à partir de ce fruit, et préparé des muffins ; peint avec de la peinture réalisée à partir de myrtille ; et ainsi de suite.


Sur le blog Par amour du Savoir, nous suivons l’élaboration d’un lapbook consacré aux papillons. 


Sur le blog Alina’s adventures (en anglais), un lapbook ayant pour thème les oiseaux.


Sur le blog Enfants libres, entre autres, un lapbook consacré aux insectes.


La Cité des Sciences : Explora et la Cité des Enfants


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Située dans le plus grand parc paysager de Paris – La Villette - la Cité des Sciences et de l’Industrie est un incontournable des sorties familiales. On y passe facilement la journée, tant il y a à voir et à faire : les expositions permanentes d’Explora, les différentes expositions temporaires, le Planétarium, la Géode, la Cité des enfants,…

La Cité propose une orientation résolument pédagogique et ludique : l’approche est participative, basée sur de nombreuses expérimentations, pour apprendre en s’amusant.  L’intérêt d’un tel projet réside aussi dans le fait de décloisonner les savoirs – on comprend très vite les connexions qui relient les différentes sciences, mises en pratique au travers de situations concrètes. De quoi éveiller toutes les curiosités.


  • Explora 

Explora, les expositions permanentes de la Cité sont plutôt accessibles pour les grands enfants et les adultes. Elles sont orientées autour de thèmes scientifiques et technologiques : les innovations technologiques, la terre, le cerveau, les gènes, les énergies, les transports, les mathématiques, etc.
Pour résumer brièvement, nous nous sommes par exemple beaucoup amusés avec les puzzles 3D des cerveaux, mais aussi à observer et toucher les représentations de cerveaux au long de leur croissance, etc. Nous avons apprécié l’espace dédié aux transports, garni de panneaux routiers entre autres ; les panneaux photovoltaïques et l’éolienne dans l’espace énergie ; une représentation de la terre, des satellites, découvert notre poids sur la lune, et surtout expérimenté le décollage d’une fusée en choisissant son niveau d’eau, etc. Enfin, la serre, où nous avons regardé toutes sortes de végétaux, mais aussi des têtards dans l’eau, et des vitrines présentant des parties de ruches, des représentations d’abeilles, etc.








  • La cité des enfants, un lieu dédié aux enfants : manipulations et expériences en toute autonomie

 La Cité des enfants propose deux espaces, pour les 2-7 ans et les 5-12 ans. Nous avons testé l’espace des 2-7 ans, pour 1h30 de manipulations et d’expériences autonomes, soit 1700 m² organisés autour de 5 espaces thématiques riches et variés : Je me découvre, Je sais faire, Je me repère, J’expérimente, Tous ensemble. Les trois premiers s’adressent aux facultés corporelles, cognitives, spatiales de l’enfant, les deux autres à ses compétences sociales. Autant d’aptitudes qui sont à la base de toute démarche scientifique. De plus, une animation (renouvelée régulièrement) est proposée aux enfants.

- Je me découvre : les enfants partent à la découverte des perceptions liées à leur corps (via des jeux de miroirs), leurs sens, leurs émotions (dans des cabanes) mais aussi de leur relation aux autres…

- Je sais faire : les enfants manipulent des objets, outils, mots ou encore symboles, les assemblant : machines à boules, classification d’animaux, jeux d’équilibre, garage, etc.

- Je me repère : pour explorer et s’approprier l’espace, à l’aide de labyrinthes, de parcours et ou encore d’espaces à aménager.

- J’expérimente : pour initier à la démarche scientifique, un espace qui s’organise autour de 3 îlots : l’eau, l’air et la lumière. Jeux d’eaux, pompes, ou encore découvertes des couleurs…

- Tous ensemble : organisé comme un chantier de construction avec wagons, brouettes, briques de mousse, grues, où les enfants sont invités à travailler ensemble pour construire. Casques et gilets à disposition.
Mais aussi le cirque, un beau dispositif que les enfants peuvent actionner.

En ligne, des ressources pédagogiques liées aux ateliers : dossiers pédagogiques, parcours, projets de sciences, etc. Ou encore des ressources diverses qui s'adressent aux parents.






30 avenue Corentin Cariou - 75019 Paris


Les + : un endroit fascinant, ludique et riche ; la large place laissée à l’autonomie, à l’expérimentation ; l’accessibilité aux personnes handicapées ou non-voyantes.


Les - : grande affluence - nécessité de bien s’organiser via le site car les séances (planétarium, Cité des enfants,…) sont prévues à heures fixes ; les tarifs moyennement élevés (mais légitimes au vu de la structure).

Le Land art de Marc Pouyet (livres)


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Marc Pouyet a derrière lui une longue carrière d’illustrateur, suite à laquelle il s’est tourné vers l’art plastique, et en particulier le land art, qui lui permet de créer avec la nature. Sa démarche lui permet donc d’allier art et écologie :
« L’art, c’est avec l’amour la chose la plus importante au monde.
L’art est nécessaire, indispensable pour l’être humain dans l’écologie comme dans la vie. L’écologie peut être parfois présentée d’une manière assez abstraite, parfois culpabilisante, stressante. L’art, la recherche du beau, de la poésie, de l’humour, du ludique peut rendre l’écologie plus concrète, plus joyeuse, plus proche...
Et puis il y a ces petits moments magiques où, créant dans et avec la nature, on se sent exister pleinement, où l’on se sent faire partie d’un tout. Petits instants d’éternité.[1] »

Le land art est la rencontre de l’art et de la créativité - mais aussi de l'amour de la nature ; c’est une pratique accessible à tous. Quel enfant ne s’est pas amusé à organiser un petit espace dans un jardin à l’aide de pierre, de fleurs, ou autres petits trésors de la nature ? L’œuvre de Marc Pouyet est une constante invitation à retrouver et renouveler ces jeux d’enfants.


Les ptits land art

Même si le format – petit livre cartonné –  est adapté aux tout-petits, le contenu visuel de ces petits imagiers inspirera les enfants de tout âge, qui auront certainement envie d’aller faire se promener dehors, à la recherche de trésors à assembler. 






Et après Printemps, Eté, Automne, Hiver, la collection s’agrandit, accueillant 4 nouveaux ouvrages : Jardin, Rouge, Jaune, Noir.
Edités par les éditions Petite Plume de Carotte. 







Les Land art

Nouvelle collection de quatre livres mêlant art et nature, les Land Art comportent en plus un cahier pratique de trucs et astuces pour aider les débutants (comment choisir les bons matériaux ? Comment coller sans colle ?) Une invitation à la promenade et à la créativité.
Edités par les éditions Plume de Carotte.






Voir le blog de Marc Pouyet, où l’on découvre toute son actualité.


Et pour le plaisir des yeux, quelques illustrations - amusez-vous bien!

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vendredi 27 mars 2015

Lettre à Momo


Une fable moderne drôle et touchante

Suite à la disparition en mer de son père, Momo et sa mère quittent Tokyo pour l’île de Shio, où elles retrouvent de la famille. Momo emporte avec elle une lettre inachevée écrite par son père : qu’a t-il voulu lui dire ? 
Sur le bateau, trois étranges de gouttes de pluie tombent sur la tête de Momo.

Thèmes courants dans le cinéma d’animation japonais, Lettre à Momo traite le deuil et l’irruption d’êtres fantastiques dans la vie des humains. Les Yokais, anciens dieux destitués - menteurs, voleurs, goinfres et fourbes, entrent dans la vie de Momo. Et bien évidemment, ils vont lui en faire voir de toutes les couleurs ! Mais ils se révéleront au final terriblement attachants et drôles, accompagnant Momo dans sa perte, faisant la transition entre le monde des vivants et celui des disparus. Nous avons là un véritable récit initiatique, qui verra évoluer Momo de la culpabilité à la paix.

Hiroyuki Okiura, (Jin-Roh : la brigade des loups, Ghost in the Shell), a mis 7 ans à terminer Lettre à Momo. L’univers visuel de ce film, presque entièrement dessiné à la main, est imprégné d’une douceur légèrement mélancolique. Paysages de la mer intérieure, jardins luxuriants, plantations de citronniers : la campagne japonaise est un havre de paix où le temps semble suspendu. Dès lors, nous sommes conviés à partager l’intimité des personnages, et prenons le temps de regarder leurs visages, leurs gestes, dont le rendu soigné traduit fidèlement leur état d’esprit.

A partir de 6 ans.


Lettre à Momo de Hiroyuki Okiura, 2013, Arte Editions











jeudi 26 mars 2015

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête (livre-disque)



En général, nous apprécions beaucoup les livres-disques des Editions Didier Jeunesse, et en particulier la collection consacrée au Contes et opéras. Une jolie manière de sensibiliser les enfants à la musique classique, d’autant que le récit et le livre rendent la musique plus concrète.

Monsieur Satie est un album somptueux, qui tourne autour de 8 récits écrits par Carl Norac, poète et auteur de nombreux albums pour enfants. Il s’est prêté à l’exercice en s’inspirant de quelques morceaux choisis de Satie, qui reflètent la complexité du personnage. Tour à tour, nous rencontrons Satie le solitaire, le précaire, le mélancolique mais aussi Satie le joyeux, Satie le rêveur,… Qui lors de ses promenades fait la connaissance d’une fille aux yeux verts, d’un facteur grincheux, d’un nuage voyageur, d’un parapluie danseur au soleil, d’un chapeau à rêves et de Madame Valladon...

Les illustrations d’Elodie Nouhen (La promesse aux étoiles, Comptines et berceuses du baobab), tendres et sensibles, sont empreintes d’une poésie délicate. Pour Monsieur Satie, elle varie une fois de plus différentes techniques : peinture, collage, grattage, apport d’imprimés de tissu ou de métal.

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête (livre-disque). Texte de Carl Norac, illustrations Elodie Nouhen, narration François Morel, piano Frédéric Vaysse-Knitter







Une visite à Pompidou, la galerie des enfants


Pour cette visite à Pompidou dont les salles ont été réaménagées l’an dernier, j’ai proposé à Imran, 4 ans et demi, de faire le guide, et d’expliquer les œuvres d’art s’il le souhaitait. Il a donc pris plaisir à m’emmener au gré de ses envies dans le musée. Nous nous sommes arrêtés devant telle ou telle œuvre, à son rythme, pour parfois y revenir, poser des questions, observer, remarquer un détail…

Il faut bien le dire, l’art contemporain peut être drôle, dynamique, coloré, fun, pop, décalé, insolite et poétique parfois… Dérangeant, questionnant, voire bizarre aussi. En tout cas, dans un grand souffle de liberté, il ouvre la porte à toutes les expérimentations possibles ! Dès lors, tout peut-il être art ? Tous les questionnements sont permis.

Evidemment, ce sont les grandes installations qui ont le plus retenu l’attention, – en particulier lumineuses, comme celle de Olafur Eliasson, Cold Wind Sphere (2012), qui joue sur l’espace, la couleur, la lumière et ses reflets. Dès lors, il a réclamé l’appareil photo, et a bien fait une trentaine de clichés de cette œuvre, sous tous les angles possibles – assez limités, puisque l’on ne peut la voir que d’un côté.

Il a poursuivi sa visite en prenant des photos, regrettant que l’on ne puisse toucher ou  même escalader certaines œuvres qui ressemblaient plus à son sens à des structures de jeux qu’à de l’art… Comme Avalanche (2003) de Wilfredo Prieto, une suite d’objets colorés de forme sphérique se déclinant jusqu’à un bar à jus d'oranges… Drôle !
Nous avons aussi admiré Outsiderin et Arroyo grande 30.04.02-11.08.02 (2002) de Tobias Rehberge, une installation de lampes ou encore Outgrowth, de Thomas Hirschhorn, une installation de 131 globes terrestres posés sur des étagères, sur lesquels on peut voir des bosses de papier adhésif marron, symbolisant les guerres, accompagnés de quelques photos.

Faudrait-il pourvoir les musées d’une salle de fac-similés ou de copies des œuvres que les enfants pourraient toucher, appréhender de toutes les manières possibles ? Ce serait drôle…


Mais après tout, c’est déjà un peu le principe de la Galerie des Enfants… Où nous sommes d’ailleurs allés jouer ! C’était le dernier jour de Surround, une exposition-atelier sonore et visuelle, mais aussi participative, de Malachi Farrell réservée aux 3-10 ans. L’artiste utilise l’art électronique et le recyclage d’objets autour de la problématique de l’environnement, présentant par exemple les sons artificiels de l’océan parmi des déchets devant lesquels on peut s’allonger tranquillement sur un transat à l’ombre d’un rang de squelettes de poissons et de bouteilles de lait suspendus. Plus loin, des vêtements sur des cintres s’animent, dans une danse mécanisme orchestrée par les bruits de casseroles au sol. Sommes-nous des robots ? A leurs pieds, des restes d’ordinateurs. Enfin, quelques tables où les enfants peuvent jouer avec des platines vinyle détournées, pour recréer un dessin-animé à partir de dessins.

Par ailleurs, depuis plus de 30 ans, le Centre Pompidou propose régulièrement des ateliers, des rencontres avec les artistes, des stages, à destination des enfants. Ceux-ci sont invités à faire l’expérience de la création contemporaine.

Les + : les oeuvres qui peuvent parfois sembler très drôles et insolites au regard des enfants, la Galerie des enfants qui leur offre un espace d'expérimentation

Les - : la frustration de ne pouvoir toucher (ou plus) des oeuvres particulièrement tentantes pour les petites mains, la grand affluence générale (nécessité absolue de privilégier les heures creuses, comme en fin d'après-midi)


Place Georges Pompidou, 75004 Paris 

Olafur Eliasson, Cold Wind Sphere 

Tobias Rehberge, Outsiderin et Arroyo grande 30.04.02-11.08.02

Thomas Hirschhorn, Outgrowth

Galerie des enfants

Galerie des enfants


mercredi 25 mars 2015

Les meilleures revues jeunesse

 
Source: La salamandre


Bien sûr, le choix d’une revue dépend de l’âge et de la sensibilité de chaque enfant. Il y en a pour tous les goûts : les petits scientifiques, littéraires, artistes ou tout simplement curieux trouveront forcément chaussure à leur pied, car sur le marché de la presse jeunesse, plus de 20 éditeurs proposent environ 125 titres.

Avant de procéder à un abonnement – sans conteste la formule la plus économique, il sera intéressant d’emprunter ou de feuilleter les anciens numéros dans les bibliothèques qui proposent généralement un large panel de revues jeunesse.
Quand l’enfant a adopté un magazine, l’abonnement est alors une belle idée de cadeau. Et quelle joie d’attendre avec impatience le jour venu sa revue ! C’est un rendez-vous bien à lui.

Et même si l’enfant n’est pas encore lecteur, il n’y a pas de raison de bouder ce plaisir ; bien au contraire, la revue lui fournira une motivation supplémentaire, et sans aucun doute, nourrira bientôt le plaisir de lire.

Et quelle joie aussi de partager un moment ensemble à découvrir le dernier numéro de sa revue favorite, de pouvoir en parler et réfléchir. Par ailleurs, l’enfant peut aussi créer une véritable relation avec son magazine favori. Il s’attache par exemple aux personnages qui animent celui-ci, préfère certaines chroniques à d’autres…

Enfin, la presse jeunesse regorge d’occasions de penser, de rêver, de s’émerveiller, de rire et de pleurer, de comprendre, d’apprendre, de découvrir le monde sous toutes ses facettes… Un plaisir ludique, qui encouragera la curiosité ! 

Voici une sélection de quelques revues que nous avons plaisir à lire ou à feuilleter régulièrement.

Le plus inspiré Steiner-Waldorf :


Fanette et Filipin, une petite revue enchantée, qui chante l'enfance en liberté, sa fraîcheur, son enthousiasme et sa joie de vivre. Pour les 3-10 ans.


Les plus Nature et Sciences :


Wakou, pour découvrir la richesse de la nature : reportages, fiches, idées bricolages, reportages... Pour les 4-7 ans.


Wapiti, le grand magazine sur la nature, les sciences et l' environnement. Pour les 7-13 ans.


La petite salamandre, la revue d’éveil à la nature. Reportages, jeux, BD, bricolages pour découvrir et protéger la nature. Pour les 6-10 ans.


La salamandre, la revue des curieux de nature. Pour découvrir, observer et comprendre la nature, les plantes et animaux qui vivent autour de nous. Pour les + 10 ans.


La Hulotte, la revue qui vous raconte la vie des animaux sauvages, des arbres et des fleurs d'Europe. Le journal le plus lu dans les terriers. Pour les + 10 ans.


Cosinus, revue de maths et sciences (sciences de la terre, biologie, physique, chimie et astronomie) pour les enfants et adolescents. Pour les 13-18 ans.


Les plus voyageurs :


Cramcram, revue alternative fondée par des familles nomades, pour ouvrir les enfants au voyage et à la rencontre des cultures du monde entier. Pour les 6-12 ans.


Géo Ado, magazine pour la découverte des pays, des cultures et des peuples pour et par des ados. Pour les 10-15 ans.


Les plus arty et graphiques  :


Bonbek, Des histoires pas gnagnans, des jeux marrants, des ateliers créatifs géants pour les enfants. Pour les 5 à 10 ans (et leurs parents).


Anorak, des contes écrits et dessinés par des illustrateurs et graphistes contemporains, un guide 'on aime', des jeux et des activités. Pour les 6-12 ans.


Georges, magazine décalé et exigeant au graphisme épuré qui stimule la curiosité et revisite les traitements traditionnels des magazines pour enfants. Second degré garanti. Pour les 7-12 ans.


Les plus historico-artistiques :


Le petit Léonard a pour but d' éveiller les enfants à l'histoire de l'art et au patrimoine de la Préhistoire à nos jours : peinture ancienne et moderne, aux monuments, à l'architecture, aux grandes inventions, et des rubriques d'actualité, visites de musées, d'ateliers et présentation d'expositions… Pour les 6-13 ans.


Dada, première revue d’art pour enfant, alternative, 52 pages d'infos artistiques articulées autour de l’histoire, des fictions et d’ateliers d'art. Pour les 9-13 ans.


Arkéo junior, revue d’archéologie présentant la vie des hommes et les événements dans la Préhistoire, l'Antiquité et le Moyen Age à travers dossiers, enquêtes, portraits, pages actualités, visites de sites et d'expositions. Pour les 7-14 ans.


Histoire junior, fait découvrir aux 10-15 ans l'Histoire vivante à travers les témoins du passé : récits, monuments, objets du quotidien ou œuvres d’art.  Pour les 10-15 ans.